Un pied sur la dernière marche,
l’autre écrasant l’ombre, je descends, disparais dans le long tunnel qui traverse la voie ferrée. J’ai quitté la façade vitrée de la gare où les reflets empressés sont couverts par le bruit, le parfum de gasoil et de ferraille, les visages sur écran cadré croisés. Regrets et espoirs dans un entonnoir déversent une flaque d’huile sous mes pieds.
De l’autr…
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