C’est un rose qui nous couvre tel un diadème quand nous sortons le soir, un rose insouciant, teinte intermédiaire entre le velouté de l’air et les couleurs variées des façades. Je relis le journal que j’ai tenu à Rome, où les prises de notes brèves sont à l’image du fluide incessant d’images de la ville sans horloge ni fin. L’enchaînement et les méandre…
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