Le couvent de Bijoy Jain
Souvent la nostalgie sauve, comme sur les réseaux sociaux où les années d'après-guerre avec leurs jolies tables collantes en formica des Trente Glorieuses répondent au marasme ambiant. Pour d’autres, c’est plutôt une esthétique de début absolu qui domine, l’horreur des guerres étant définitivement actée. Une façon certainement d’effacer la discontinuit…
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